Ecritures japonaises

Les 3 systèmes d’écriture du japonais : un article pour tout savoir !

L’écriture japonaise peut sembler complexe au premier abord, mais c’est beaucoup plus simple qu’il n’y paraît. Elle est composée de trois systèmes d’écriture différents qui peuvent être utilisés simultanément dans une même phrase. Si les hiragana, les katakana ou les kanji ressemblent à du chinois pour vous, alors après la lecture de cet article tout vous semblera beaucoup plus clair et l’écriture japonaise n’aura plus aucun secret pour vous ! ?

L’origine des 3 systèmes de l’écriture japonaise

Saviez-vous qu’au départ, les Japonais ne possédaient pas de système d’écriture ?

En effet, la langue japonaise ne s’est développée que de manière orale jusqu’à la période Yamato. C’est à ce moment-là que l’archipel nippon a entreprit ses premières relations avec la Chine et la Corée, notamment pour des raisons diplomatiques et religieuses. Les Japonais adoptèrent alors les idéogrammes chinois (kanji), dans un premier temps uniquement pour leur valeur phonétique, sans s’attacher à la signification. Cela permettait de retranscrire un mot japonais en kanji uniquement grâce à sa prononciation.

Mais ils se sont vite rendu compte que ce n’était pas une tâche aisée puisque les caractères chinois sont monosyllabiques ; cela impliquait de devoir souvent utiliser plusieurs kanji aux traits complexes pour écrire un seul mot japonais.

Pour rendre le procédé plus facile, on simplifia les kanji en réduisant le nombre de traits, et on décida d’un nombre limité de caractères afin de couvrir tous les sons existant en japonais. C’est ce qui donna naissance aux hiragana. Ils furent d’abord surtout utilisés par les femmes dans leurs écrits littéraires. Peu de temps après, les katakana suivirent le même chemin et furent utilisés principalement par les hommes dans les sciences et le bouddhisme.

C’est pour ça qu’on dit parfois que « les hiragana sont l’écriture des femmes, et les katakana l’écriture des hommes » ?. Historiquement il y a une explication, mais de nos jours les deux alphabets sont utilisés par toute la population, indifféremment de leur genre.

Les kana, c’est quoi ?

Dans le guide pour débutants que j’ai écrit, j’y détaille comment apprendre les kana (= les deux alphabets syllabaires japonais).

Téléchargez-le gratuitement sur ce blog pour tout connaître là-dessus ! 🙂

Les hiragana (ひらがな)

Les hiragana ont des formes arrondies, contrairement aux katakana qui sont plutôt anguleux.

Le tableau des hiragana : le premier contact avec le système d'écriture japonais.
Tableau des hiragana

C’est le premier alphabet syllabaire que nous devons apprendre. Il contient 46 signes, et est utilisé pour écrire tous les mots de la langue japonaise qui sont d’origine nippone (vocabulaire, grammaire, etc).

Ils nous aident aussi à pouvoir lire les kanji que l’on ne connaît pas. En effet, lorsqu’un kanji est rare ou complexe, sa prononciation est souvent écrite en hiragana au-dessus ou à côté du mot pour permettre au lecteur de pouvoir le lire et le comprendre. On appelle ça les furigana.

Quand les kanji d’un mot courant sont trop complexes, dans la plupart des cas on préfèrera l’écrire entièrement en hiragana.

Par exemple : L’adjectif 奇麗 qui veut dire « beau, propre » est généralement écrit en hiragana きれい car c’est un mot courant dont les kanji sont compliqués, donc difficiles à écrire à la main.

Attention : ce n’est pas toujours le cas. On peut aussi faire délibérément le choix d’écrire un mot en kanji plutôt qu’en hiragana. Cela peut renvoyer une image raffinée, soutenue ou plus polie.

C’est la première étape que je conseille à tout débutant qui veut se lancer dans le japonais : maîtriser parfaitement les hiragana. Ainsi, il pourra déjà lire et écrire tous les mots 100% japonais, ce qui lui ouvre de nombreuses portes. Je dis bien tout lire, pas forcément tout comprendre hein ? Mais c’est déjà un énorme pas en avant !

Les hiragana vous permettent de lire facilement les kanji du manga Diabolic Garden.
Bulle de manga 100% lisible grâce aux hiragana 🙂

Les katakana (カタカナ)

Les katana sont utilisés pour transcrire en japonais les mots d'origine étrangère.
Tableau des katakana

Après avoir maîtrisé les hiragana, nous devons apprendre les katakana.

Ceux-ci reprennent les mêmes 46 syllabes que pour les hiragana, mais ils servent à écrire les mots d’origine étrangère, comme par exemple nos prénoms, ou bien des mots issus de l’anglais utilisés dans la vie quotidienne (télévision, ordinateur, Internet, etc).

Quelques exemples : カメラ (appareil photo)、ソフィー (Sophie)、フランス (France)

On peut aussi croiser des katakana dans les manga, notamment en fond de bulle. Ils servent en général à retranscrire un son, une onomatopée ou un cri. Étant plus anguleux et avec un aspect plus dynamique que les hiragana, les katakana fonctionnent bien pour renvoyer un sentiment d’action brusque.

Les katakana vous font vivre l'action du manga Diabolic Garden !
Bruits retranscrits en katakana pour plus d’impact visuel

C’est la deuxième étape à accomplir pour tout apprenant du japonais : une fois les hiragana maîtrisés, il faut apprendre les katakana.

Les tenten ( てんてん), le maru ( まる) & les petits YA YU YO (ゃゅょ)

Une fois les deux tableaux maîtrisés, il vous faudra également connaître les variantes avec les tenten et le maru.

Les tenten (signifiant en japonais « deux points ») et le maru (littéralement « rond ») peuvent venir se rajouter en haut à droite de certains hiragana et katakana. Ils servent à étoffer les sons présents dans les tableaux de base afin de créer de nouvelles syllabes sans avoir à apprendre d’autres signes (en gris dans les tableaux suivants).

De même, il est possible de combiner les trois syllabes YA, YU et YO avec une seconde syllabe pour former un nouveau son (partie basse des tableaux suivants).

Le tableau complet de tous les hiragana japonais.
Tableau complet des hiragana
Le tableau complet de tous les katakana japonais.
Tableau complet des katakana

Lorsque vous maîtriserez les deux alphabets, vous aurez déjà accompli une belle partie du travail. Il ne vous restera que 2 petites règles à connaître afin de pouvoir tout écrire et tout lire en japonais (en dehors des kanji) : les allongements et le petit tsu.

Les allongements de voyelles 

Si l’on comparait la langue japonaise à de la musique, on pourrait dire que chaque syllabe compte pour 1 temps, et qu’une voyelle allongée compte pour 2 temps.

Je m’explique : dans le mot ゆめ (yume), il y a 2 syllabes, donc 2 temps. La première syllabe dure autant de temps que la deuxième.

Alors que dans le mot ゆうめい (yûmê), il y a 4 syllabes, dont 2 allongements. Si l’on compare les écritures en rômaji (alphabet latin), on pourrait croire que ça se prononce pareil car on ne ferait pas forcément attention aux accents symbolisant les allongements. Mais si l’on compare les hiragana, on se rend bien compte qu’il y a 4 syllabes, donc 4 temps. Et ça change tout !

Le premier mot veut dire « rêve », tandis que le deuxième est l’adjectif pour dire « célèbre, connu ». Rien à voir ! D’où l’importance de ne jamais apprendre le japonais en rômaji ! ?

Comment allonger une voyelle en japonais ?

Déjà, il faut comprendre ce qu’on entend par « voyelle » ; tous les kana sont considérés comme des voyelles, sauf le ん・ン (n). En effet, c’est la seule véritable consonne en japonais.

Partant de là, il est possible d’allonger n’importe quelle voyelle. Comment faire ?

En hiragana :

Pour allonger une voyelle en « A » (toute la ligne des あ、か、さ、etc), il suffit de rajouter le kana あ derrière elle.

Exemples : おかあさん (okâsan, la mère)、おばあさん (obâsan, la grand-mère)

Pour allonger une voyelle en « I » (toute la ligne des い、き、し、etc), il suffit de rajouter le kana い derrière elle.

Exemples : おじいさん (ojîsan, le grand-père)、おにいさん (onîsan, le grand frère)

Pour allonger une voyelle en « U » (toute la ligne des う、く、す、etc), il suffit de rajouter le kana う derrière elle.

Exemples : ゆうき (yûki, le courage)、すうがく (sûgaku, les mathématiques)

Pour allonger une voyelle en « E » (toute la ligne des え、け、せ、etc), il y a deux possibilités : soit rajouter le kana え derrière elle, soit rajouter le kana い.

Ce qui veut dire que les sons ええ (ee) et えい (ei) se prononcent de la même manière : un « e » long.

Exemples : ええ (ee, ouais)、えいが (eiga, le cinéma, le film)、せんせい (sensei, le professeur)

Pour allonger une voyelle en « O » (toute la ligne des お、こ、そ、etc), il y a deux possibilités : soit rajouter le kana お derrière elle, soit rajouter le kana う.

Ce qui veut dire que les sons おお (oo) et おう (ou) se prononcent de la même manière : un « o » long.

Exemples : おおさか (oosaka, Ôsaka)、ありがとう (arigatou, merci)、とうきょう (toukyou, Tôkyô)

En katakana :

Pour allonger n’importe quelle voyelle en katakana, il suffit de rajouter un ー derrière elle. Et c’est tout ! Beaucoup plus simple que les hiragana, pas vrai ? ?

Exemples : ラーメン (râmen)、コンピューター (konpyûtâ, l’ordinateur、チョコレート (chokorêto, le chocolat)

C’est pour ça que si vous lisez des manga en VO, vous pourrez croiser des bulles avec de longs traits verticaux ; il s’agit d’un allongement de voyelle, notamment lorsqu’un personnage crie, comme ici :

Pour allonger la prononciation des katakana, il suffit d'un trait comme dans le manga Diabolic Garden.

Vous savez tout sur les allongements en japonais !

Ne faites donc plus l’erreur de dire « senseï » ou de prononcer le nom de la ville de Tôkyô sans marquer les allongements ? De même, vous savez désormais différencier les mots yuki & yûki, yume & yûmê*. Bravo ! 😀

Le petit tsu ()

La dernière règle à connaître sur l’écriture des kana, c’est la règle du petit tsu. Mais qu’est-ce donc avec un nom aussi mignon ? 😀

Vous prenez le kana tsu (つ・ツ), vous l’écrivez en plus petit, et il se passe quelque chose… !

Il y a 2 manières de comprendre cette règle :

La première est de raisonner en rômaji (bouhhh pas bien !) et de visualiser que pour chaque petit tsu, on double la consonne suivante.

Exemples : さっぽろ (Sapporo), ほっかいどう (Hokkaidô), とっとり(Tottori)

La seconde manière de le comprendre est de se dire que le petit tsu marque une pause dans le mot, comme si on retenait notre respiration. Il faut imaginer qu’on a le hoquet et qu’on n’arrive pas bien à prononcer la syllabe suivant le petit tsu. Elle reste bloquée dans notre bouche pendant 1 temps, et ressort ensuite.

Exemple : ざっし (zasshi, le magazine) -> comme si le son し (shi) était difficile à prononcer. Bon ce n’est pas non plus zasssssssshi il ne faut pas exagérer ?

Si je reprends l’analogie de la musique, chaque syllabe japonaise compte comme 1 temps. Le petit tsu est une véritable syllabe, donc pensez bien à le faire ressortir quand vous le croisez.

Vous saurez désormais faire la différence entre :

さっぽろ ≠ さぽろ
Sapporo ≠ Saporo

A noter que cette règle s’applique aussi bien aux hiragana qu’aux katakana.

Je vous invite à lire le guide pour débutants que j’ai écrit afin de savoir comment apprendre les kana. Je vous donne plusieurs méthodes qui fonctionnent bien, alors n’attendez plus et téléchargez-le gratuitement sur mon blog ?

Et si vous arrivez jusqu’ici en ayant tout appliqué à la lettre, félicitations !! C’est beaucoup de travail mais c’est le fondement même de la langue japonaise, donc on ne peut pas y échapper ? Une fois ces étapes accomplies, vous pourrez être fier de vous car vous saurez tout lire et tout écrire en japonais ! … A moins que ?

Les kanji (漢字)

Voilà les mastodontes de la langue japonaise. Ils sont nombreux, ils sont gros, ils font peur, et c’est souvent ce qui décourage les apprenants à aller plus loin.

Comme je vous l’expliquais dans cet article retraçant mon parcours, j’ai moi aussi longtemps détesté les kanji car ils m’intimidaient beaucoup et j’avais peur de les affronter. Je me disais que tout écrire en kana c’était suffisant, mais j’ai bien vite été bloquée dans mes études et je ne pouvais plus progresser sans connaître les kanji.

Mais d’ailleurs, c’est quoi les kanji ?

Ce sont des idéogrammes importés de Chine. Chaque kanji désigne un objet ou un concept, et ils peuvent se combiner entre eux pour créer de nouveaux mots.

Il en existe des milliers, et l’on estime qu’il faut en maîtriser environ 2200 pour être capable de lire le journal japonais.

Lors de notre apprentissage de la langue, c’est certainement le point le plus fastidieux, mais aussi le plus enrichissant et créatif. J’utilise personnellement de nombreux moyens mnémotechniques pour les retenir, et je tente de les enseigner du mieux possible à mes élèves pour qu’ils puissent les mémoriser sur le long terme.

Si vous êtes débutant, sachez qu’il n’est pas nécessaire dans un premier temps d’en apprendre beaucoup pour pouvoir se débrouiller lors d’un voyage au Japon ou pour comprendre des textes simples. Le niveau le plus bas de l’examen du JLPT recommande d’en connaître une centaine pour pouvoir le valider. Ça peut paraître énorme quand on sort tout juste de l’apprentissage des deux alphabets, mais en fait ça va très vite !

Vous verrez que les 100 premiers kanji ne sont rien de plus que des pictogrammes d’objets de la vie quotidienne.

Exemples : 木 (arbre)、森 (forêt)、山 (montagne)、田 (rizière)、雨 (pluie)

Je conseille toujours aux débutants de commencer par apprendre les kanji des chiffres. Ça aide à dédramatiser l’ampleur de la tâche ?

Et pour vous rassurer encore plus, sachez que même les Japonais ne connaissent pas tous les kanji. Avec l’usage actuel des nouvelles technologies, de nombreux Japonais ne savent plus écrire certains caractères car tout est automatisé avec les téléphones ou ordinateurs. C’est un peu pareil chez nous avec l’orthographe qui se perd… !

En dehors de la difficulté de mémorisation visuelle des kanji, il faut aussi retenir comment ils se prononcent. Chaque idéogramme peut avoir une ou plusieurs prononciations différentes.

Quelle prononciation pour quel kanji ?

 Laissez-moi vous expliquer ce que sont les lectures KUN et lectures ON (aussi appelées KUN-YOMI & ON-YOMI). La plupart des livres de kanji les séparent l’une de l’autre, en général en écrivant la KUN en hiragana et la ON en katakana.

Les kanji se prononcent différemment  en kon-yomi et on-yomi.
Extrait du livre « Kanji Kakitai »

Ceci vous donne déjà un indice sur leurs usages respectifs ; qui dit hiragana dit mot japonais, et katakana mot étranger. Pas vrai ?

La lecture KUN, écrite en hiragana ci-dessus, est la lecture japonaise du kanji. Elle est principalement utilisée lorsque le kanji est tout seul.

Exemple : 水 (mizu, l’eau).

La lecture ON, écrite en katakana, est la prononciation qui vient du chinois à l’origine.

J’insiste sur le « qui vient du chinois » car cela ne veut pas dire qu’à l’heure actuelle le kanji se prononce de la même manière en chinois. Les deux langues ont beaucoup évolué l’une et l’autre, et le chinois comporte de nombreux dialectes qui font qu’un même kanji peut se lire de différentes manières selon la région.

La lecture ON est généralement utilisée lorsque le kanji est accompagné d’un deuxième kanji pour former un mot composé.

Exemple : 水泳 (suiei, la natation).

Attention : cette règle n’est pas fiable à 100%. Parfois la lecture ON s’utilisera lorsque le kanji est seul, et parfois un mot composé se lira de manière KUN. C’est moins fréquent, mais ça peut arriver. Alors faites attention ?

L’avantage de savoir ça, et donc de connaître les lectures ON, c’est que lorsque vous croiserez un nouveau mot composé de 2 kanji que vous savez lire indépendamment, il y a de fortes chances pour que vous puissiez deviner la prononciation de ce nouveau mot.

C’est comme des Lego !

Par exemple, si vous savez que la lecture ON du kanji 水 (eau) est SUI, et que vous savez que la lecture ON du kanji 力 (force) est RYOKU, vous pouvez en déduire que 水力 (force hydraulique) se prononce SUIRYOKU. Et vous auriez raison ?

Écriture japonais : kanji idéogramme eau force hydraulique
SUI + RYOKU = SUIRYOKU. Magique non ?

Lorsque vous commencez votre apprentissage des kanji, je vous conseille de ne surtout pas essayer de retenir toutes les prononciations pour chaque idéogramme que vous étudiez. Ce serait une pure perte de temps ; c’est comme si vous preniez un dictionnaire et que vous vouliez apprendre tous les mots dans l’ordre alphabétique. Certes vous élargirez votre vocabulaire, mais vous ne vous servirez probablement pas des ¾ des mots que vous aurez appris. Ces informations superficielles satureront votre cerveau alors que vous auriez pu apprendre d’autres mots utiles à la place.

C’est pareil pour les kanji : contentez-vous d’apprendre la ou les lectures dont vous vous servirez immédiatement. Vous aurez largement le temps d’y revenir par la suite lorsque vous aurez un niveau plus avancé en japonais !

Exemple concret avec ce kanji que tout débutant doit connaître rapidement :

Écriture japonais : kanji idéogramme soleil
Comment ne pas avoir peur en voyant ça ? XD

Le kanji du soleil (日) a de nombreuses lectures. Il n’est pas nécessaire d’apprendre les 6 d’un coup.

Dans un premier temps, il peut être judicieux de retenir « seulement » 4 lectures : ひ (lecture KUN utilisée quand le kanji est seul pour désigner le soleil), に (dans le mot 日本, nihon, Japon) にち & び (dans le mot 日曜日, nichiyôbi, dimanche)

Autre exemple avec le kanji de la naissance/vie (生) qui a 5 lectures différentes. Vous pouvez l’apprendre dans 2 mots très utiles : 先生 (せんせい, le professeur) et 誕生日 (たんじょうび, l’anniversaire). Vous vous concentrez ainsi sur seulement 2 lectures et le reste viendra plus tard, quand vous en aurez besoin.

Je m’arrête là car cet article est déjà très long. J’espère avoir pu vous expliquer du mieux possible les bases de l’écriture japonaise, et je vous dis à très vite pour vous aider à progresser en japonais !

Si vous avez la moindre question concernant le contenu de cet article ou sur la langue japonaise en général, laissez-moi un commentaire ci-dessous !

Je me ferai un plaisir d’y répondre le plus précisément possible 😀

またね!A bientôt !

*ゆき (yuki) = neige
ゆうき (yûki) = courage
ゆめ (yume) = rêve
ゆうめい (yûmei) = célèbre, connu

Toutes les bulles de manga de cet article sont issues du manga Diabolic Garden par Ichigo SHIRAKI.

Sophie - Cours de Japonais

Sophie, professeur de japonais depuis 2013, a créé sa formation OBJECTIF JAPON en 2020 et a accompagné depuis des milliers d’élèves dans leur apprentissage du japonais. Sur son site et sur les réseaux, elle partage les astuces qui lui ont permis d’apprendre elle-même le japonais.

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